02.28
Les travaux :
Trois ans après leur achat, les portes des chambres et de la salle d’eau sont enfin installées. Cela n’a pas été simple, il a fallu pour poser 3 d’entre elles réduire la largeur de l’ouverture en posant un rajout à l’huisserie. Tout est tellement unique dans cette maison que certaines ouvertures faisaient 83 cms de large pendant que d’autres mesuraient 73 cms. Pas facile mais au final le résultat est satisfaisant. Ne reste plus qu’à les peindre.
La neige :
Comme chaque année depuis fin 2010 et notre arrivée dans le Saosnois, nous avons encore eu de beaux épisodes neigeux : pas de bus pour les gars et la pelle à neige de nouveau de sortie.
Les garçons :
Une des occupations pour les gars : la peinture. Nos enfants sont de vrais artistes !
Week-end à La Tessoualle :
Fin février, nous avons passé le week-end à La Tessoualle ; enfin Richard, Aymé et Gaspard car Firmin a séjourné chez Louison et Anne-Laure était sur Bordeaux (elle vous racontera).
Richard et Gérard ont réalisé quelques petits travaux d’amélioration de la location rue du Paradis en attendant le nouveau locataire fin mars : pose d’un système d’alarme en cas de fumée, pose de butée de porte, réparation d’une grille extérieure de ventilation et nettoyage des grilles d’aération des fenêtres…
Le samedi, nous avons dîné chez le parrain de Gaspard : merci Béa, merci Yannick pour cette sympathique soirée…
Le dimanche, après un tour au Cercle, nous sommes allés voir Firmin courrir à Chemillé. Un froid de canard et une belle 16 ème place pour Firmin.
Fin de week-end et un lundi épique : lundi matin, nous quittons la maison Chemin de La Bleutre. Les parents de Richard sont déjà partis en vacances pour la semaine. Ghislaine conseille à Richard de garder la clef du portail électrique :
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Richard : « Non pas la peine je fermerai depuis l’intérieur »
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Ghislaine : « Il ne faudra rien oublier dans la maison, tu ne pourras plus y rentrer si tu ne prends pas la télecommande »
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Richard : « Je ne suis pas idiot, je vais faire gaffe ».
Et ce qui devait arriver arriva, après avoir chargé la voiture, Richard ferme le portail de l’intérieur, sort et là moment de panique « ma sacoche, mes papiers, trop tard!!!!! » Ce n’est pas trop grave les parents de Richard posteront la sacoche dès leur retour de vacances. On fera sans les papiers.
Déjeûner à Avail avec la famille Pasquier et c’est déjà l’heure de prende la route pour Saosnes. Et là. Re-moment de panique du côté d’Angers.
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Richard à Anne-Laure : « tu as tes clefs de maison ? «
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Anne-Laure : « non c’est toi qui a fermé à clef en partant vendredi »
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Richard : « Oups alors là, çà craint car mes clefs sont dans ma sacoche, qui est dans la maison de mes parents ».
Sueurs froides et on se dit qu’on trouvera bien un serrurier sur Mamers. « Allo Lydie tu peux faire une recherche sur Internet pour nous trouver un serrurier. » Plusieurs coups de fils plus tard, toujours rien (on avait oublié un instant que le Nord Sarthe c’est vraiement le désert) et voilà la maison en vue et là par miracle un bon contact. « Ok je peux intervenir d’ici une demi- heure ». Un peu de patience dans la voiture. Et une petite heure de travail plus tard (c’est bien les serrures sécurisées mais quand on n’a pas les clefs c’est vraiment ch… à ouvrir), nous voilà dans notre maison lestés d’une centaine d’euros.
RICHARD
Le même week-end mais à Bordeaux :
Pour le week-end à Bordeaux, c’était très bon de passer des moments entre filles, entre cousines. Mais l’instant le plus chargé en émotion a été mon arrivée au salon LOUCA. Coiffée d’une belle perruque frisée noire et munie de lunettes de soleil bien noires également, je me dirige doucement vers le salon. Je frissonnais de froid mais surtout de trouille. J’allais revoir Blandine. J’avais auparavant laissé mes trois soeurs et Françoise dans une rue plus loin. Elles devaient me rejoindre une heure plus tard avec 4 autres personnes : Stéphanie, Florence, Anne-Michèle et Nelly. J’ouvre la porte du salon. Je vois la tête de Blandine qui attendait son Rdv de 10h. Rdv pris par une de mes collègues, Cathy, un mois plus tôt. Là, Blandine me dit poliment « Bonjour Madame » en prenant un air surpris de voir le personnage qui entrait mais rassurée de voir son client présent. Je lui réponds à mon tour « bonjour Madame » en essayant de garder mon sérieux mais surtout mon émotion. Je tremblais comme une feuille. Et alors à ce moment là, Blandine a eu une réflexion . Je suis plantée face à elle et je vois son regard douteux. Là, elle a dû se dire, mais comment je vais la coiffer ? Je n’ai pas eu le temps de lui demander un brushing lisse puisque je lui ai répondu : » C’est vos vrais cheveux ? » « oui, ce sont mes vrais cheveux ». Mon sourire m’a trahi puisque c’est précisément à ce moment qu’elle m’a reconnue : « Mais c’est Anne-Laure!!! »……………. etc Embrassades, retrouvailles : quels bons moments ! Mensonges aussi : j’ai dû inventer une histoire et ne pas annoncer la venue des huit autres filles. J’ai alors dit que Richard passerait plus tard mais que pour l’heure, il faisait un petit tour dans les rues de Bordeaux. « Génial!! » Mais Benoït part à Londres. Ce n’est pas grave, on en profitera sans lui. Blandine m’a fait visiter le salon. Ambiance Zen et décoration épurée, musique calme. Je devrais passer un bon moment. La visite terminée, Blandine sort fumer et en profite pour me présenter à Jean-Philippe. Il a bien trouvé que Blandine était différente. Au passage, elle est très bien intégrée dans sa rue et semble avoir conquis les autres commerçants. De retour au salon, elle s’occuppe de moi. Diagnostic du cuir chevelu, couleur, coupe, massage etc… Et puis, vers 11h15, la brochette de filles fait son apparition derrière la vitrine. Blandine a vu Isa en premier puis s’est vite déplacée vers la porte. Elle n’y croyait pas et avait toujours le même sentiment 2 heures plus tard. Quelle surprise!!! L’après midi a été ponctué de va et vient dans le salon et les boutiques de la rue. Pour dîner, nous avons commandé et mangé chinois chez Blandine. Nous avons pété les bouchons pour arroser l’ouverture de LOUCA comme il se doit. Départ prévu le dimanche vers 12h30 pour les une et 1630 pour les autres. Ce fut court mais intensément vécu.
ANNE-LAURE
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